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    pour toi mon Satan qui fait des ravages!
     
     
    Amoureuse
     
    Les ardeurs indociles de mon corps,
    Suscitées par la maestria de tes mains,
    Qui caressent nonchalamment mes seins,
    Du rêve aux gémissements assouvis de nos transports.
    D’une lueur frémissante et euphorique,
    Je plonge dans les émeraudes de ton regard,
    Éclats de plaisir par tes cadences qui m’accaparent,
    Déraisonne-moi, je t’appartiens, soumise et authentique.
     
    Loetiga


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  • Day%20and%20Night%20Media%20Studio%20-%20Lovers%202
     
     
    A mon seul et unique  amour de ma vie
     
    Il n'en était rien…
     
    J’avais cru connaître l’amour passionnel et ardent!
    Il n'en était rien….
    Il me semblait avoir déjà vu les splendeurs de l'âme!
    Il n'en était rien…
    Je pensais entrevoir les plus belles beautés du monde!
    Il n'en était rien…
    Je croyais ressentir le sentiment le plus puissant et céleste!
    Il n'en était rien…
    Je croyais avoir percé les mystères de l’amour!
    Il n'en était rien….
     
    Depuis ta rencontre mon cœur,
    Je peux enfin dire que j’éprouve de la passion.
    Le véritable sentiment considérable qui perdurera à jamais en moi!
    Je t’aime profondément mon adorable poète.
     
    Loetiga
     
     


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  • 481528_384904084959775_959008566_n
     
     
    La nuit obscure de l’âme
     
    Dans mon éther voilé de chagrin insaisissable,
    Les corbeaux, maîtres de ma destinée, voltigent dans l’ennuie,
    Les ombres de mes pensées deviennent innommables,
    Et des bruissements de marbre vibrent pesamment au seuil de ma vie.
     
    Un vent de promesses inachevées tourmente mon âme inhabitée,
    Quand avec témérité je brave l’impétueuse mélancolie.
    Ma lumière solennelle est dépourvue de jouissance de gaité,
    Je suis mon étoile d’infortune dont sa poussière me démystifie.
     
    Pourquoi découle autant de tristesse dans mes veines noires?
    La nuit mystique de mes songes ombreux, enrobe ma sève mortelle,
    Dans les bras des anges funèbres, s’efface la douloureuse mémoire,
    Ô souffle impur! Laisse moi divaguer dans la splendeur de l’éternel.
     
    Loëtiga
     
     


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