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Pour mon homme qui est mon plus doux péchéPlus j'y penseJe ne me l'explique c'est toiMon évidenceTu es ma plus belle chanceUn bout de moiEnlace moi Embrasse moi( Oh fais moi devenir femme )Caresse moi Cache moi( Tu connais toutes mes faces )Enlace moi Embrasse moi( Oh donne moi s'que j'attends d'toi )Possède moi Aime moiJe n'ai plus de doutesJe n'ai plus peur Parce que c'est toiJ'ai trouvé ma routeEt mon bonheur Parce que c'est toiJe t'ai attenduJe t'ai rêvé Oui c'est bien toiJe suis prête à toutJe m'offre à toi Parce que c'est toiDans tes brasJe ne suis plus rienJe ne suis plus moiEt sous tes doigtsJe fonds mon corpsN'attend que toiEnlace moi Embrasse moiPossède moi Aime moiTu es mon évidenceEt tu vas dans mon sensTu es mon évidenceSimplement toi Toi qui me vasTu es mon évidenceToi qui vas dans mon sensTu es mon évidenceSimplement toi
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Petit cadeau pour mon Apollon que j'aimeCorps à corpsDraps de satin empourprés, lumière tamisée par les bougies,L’ambiance est propice à la fièvre ardente de nos désirs.La clarté pâle sculpte avec grâce le corps de mon Apollon asservi,Son torse velu, est une invitation à l’ivresse des milles et un plaisir.Ma main douce et aimante, caresse avec avidité sa peau dévorante,Un frisson inéluctable parcourt mon dos jusqu’à mon bas ventre fébrile,Mon amant exalté, effleure de ses doigts agiles mon clitoris désireux, je jubile,Voyant mon enivrement sincère, il glisse un doigt dans ma cavité humide et brulante.Je ferme les yeux pour savourer ses mesures érotiques et exquises,Mon souffle s’intensifie, mes jambes se raidissent et je mouille encore avec ardeur,Regardant mon bien aimé avec concupiscence je lui dit avec candeur:« laisse moi gouter à la sève des délices » et je suce ce doigt habile qui me fanatise.Je m’allonge frémissante sur les draps satinés et leur fraicheur anime tous mes sens.Je lui suis offerte, soumise à sa passion, mon cœur palpite jusqu’au firmament embrasé.Il me pénètre doucement, profondément , je gémis et me délecte de sa cadence.Une fièvre affolante monte en moi, c’est un voyage intemporel et passionné.Nos plaisirs se confondent, se partagent, nous ne formons plus qu’un,Nous jouissons ensemble, tremblants et épanouisNous nous regardons plus amoureux et complices, je lui prends la main,Y dépose un baisé adorateur et nous nous endormons à la pureté de la nuit.Loëtiga
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Pour mon homme qui commence à apprécier l'opéra!Résumé de La Traviata:
L’action se déroule à Paris et dans ses environs autour de 1850 (en août pour le premier acte, janvier pour le second et février pour le troisième).
Alfredo Germont, jeune homme issu d'une bonne famille provençale, tombe amoureux d’une courtisane en vue, Violetta Valéry, lors d’une soirée privée à Paris. Sincèrement amoureuse, Violetta abandonne son métier et se donne sans réserve à Alfredo. Cependant, Monsieur Germont, le père d'Alfredo, au nom de la respectabilité bourgeoise, obtient d'elle qu'elle rompe avec son fils. Violetta écrit alors une lettre de rupture à Alfredo sans dévoiler le motif réel de sa décision. La maladie mortelle (la tuberculose) dont elle était déjà atteinte, reprend alors de plus belle. Un mois plus tard, Alfredo apprend de son père que Violetta n’a jamais cessé de l’aimer, et qu'elle a sacrifié son amour à la réputation de son amant. Saisi par le remords, il accourt à son chevet, mais trop tard : épuisée par la maladie, Violetta meurt dans ses bras.
Extrait de la vidéo :Acte lll
Violetta en proie à une rechute de son mal est soignée par Annina dans son appartement parisien surveillé par les créanciers. Elle relit la lettre de Giorgio Germont, qui lui révèle qu'il a tout avoué à son fils, et qui lui annonce qu'Alfredo viendra lui-même lui rendre visite
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Es-tu ?Le voyageur du temps qui est venuPour guérir mes blessures pour me conduire jusqu'au soleilPour parcourir ce chemin avec moi jusqu'à la fin des tempsEs-tu celui ?Qui brille la nuit comme les luciolesÉternité dans le ciel du soirDécouvrant le matin face à faceEs-tu celui ?Qui partagerait cette vie avec moiQui plongerait dans la mer avec moiEs-tu celui ?Qui a eu assez de douleurEt ne souhaite plus sentir la honte, plus jamaisEs-tu celui ?Qui marche avec moi dans le jardin des étoilesLa supernova de notre amour est vraie
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J’ai un deuxième coup de gueule aujourd’hui. Je viens de m’acheter un magasine, « le point, hors série » sur les hommes et les femmes et je dis haut et fort, même si je le pensais déjà avant, je n’aime pas l’islam! Non parce que c’est l’islam, car si ma religion, le catholicisme avait ces pensées là, je serai formellement contre!Je vais vous mettre un passage de l’article ainsi qu’un passage du Coran.« C’est que le Coran lui-même, dicté par Dieu, fait de la femme une mineure. Le premier musulman était pourtant une femme, Khadjita, première épouse de Mahomet ( note personnelle: déjà pour moi c’est choquant qu’un homme puisse avoir plusieurs épouses!). Et Aïcha, la femme qu’il épouse alors qu’elle n’est pas pubère ( note personnelle: ça aussi c’est choquant!) et qu’il va passionnément aimer, témoignera de son action en tant que prophète. La femme joue donc dès les origines un rôle essentiel dans la société musulmane. Mais et c’est là le paradoxe, sur le plan juridique et politique, elle reste sous la tutelle de l’homme, qu’il soit père, mari, le fils ou le frère. Sa parole vaut moins que celle d’un homme et la fille n’hérite que la moitié de ce que reçoivent ses frères. »Extrait du Coran:« les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs qu’Allah accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu’ils font de leurs biens. Les femmes vertueuses sont obéissantes à leur mari et protègent ce qui doit être protégé, pendant l’absence de leur époux, avec la protection d’Allah. Et quand à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d’elles dans leurs lits et frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Allah est certes, haut et grand! »Bah moi je suis choquée, outrée et bafouée entant que femme!! Aucune religion, je dis bien aucune religion ne devrait tolérer ce genre d’imbécilités. La femme est libre, la femme peut penser par elle-même!!!
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