Voici le tout premier poème que j’ai lu de mon adorable amour, alias Enigma 71.
J’ai tout de suite aimé sa plume douce, sensible et sincère.
Cette nostalgie qui le hante me fait fondre d’amour .
Le temps passe et des images me reviennent en mémoire,
Le temps passe où rien ne commence et ne finit.
Le temps passe et je chasse en moi le désespoir,
Le temps passe et le soleil brille sur ma vie.
Pourtant, je regarde le miroir qui reflète mon visage,
J'ai beau fermer les yeux, je vois l'intérieur de mon âme blessée.
Si je pouvais tourner en arrière quelques pages,
Je donnerais quelques années de ma vie, sans hésiter.
Cela ressemble à de la nostalgie mais peu m'importe,
Je suis si malheureux et si accablé.
Je ferme les yeux et je remonte le temps, en quelque sorte,
Mais mon Dieu, je suis si torturé.
Le temps passe et j'entends le tic-tac incessant de l'horloge.
Le temps passe et je ne peux rien y faire.
Le temps passe et j'entends le tic-tac incessant de l'horloge.
Le temps passe et je vis un enfer.
J'aimerais tellement avoir des pouvoirs et d'un claquement de doigts,
Revenir à l'époque de mon enfance.
Ce serait tellement merveilleux et magique à la fois,
Mais je glisse doucement vers la démence.
Pourtant, je regarde le miroir qui reflète mon visage,
Oh ! Seigneur, j'éprouve du ressentiment envers toi.
Si tu me laissais tourner ces quelques pages,
Cela serait une belle fin, une fin en soi.
Le temps passe et je m'éloigne de mon enfance,
Le temps passe et je fais un rêve doux et coloré.
Le temps passe et je ressens comme de la désespérance,
Le temps passe, et je me laisse emporter.
Le temps passe et je n'arrive pas à l'arrêter.
Je cherche ce qui est impossible à avoir.
Le temps passe et me rattrape comme mon désespoir.
Le temps passe mais surtout, ne pas se retourner.
« Le temps passe » Copyright Enigma 71 Mai 2007