Larmes de Lune
Astre funeste, mélancolique et moribonde
La tristesse de la nuit, sur ton corps vagabonde
Les ténèbres enrobent ton halo de lumière
Sous ton masque blafard, la foi se conquiert
Le spleen céleste prolifère la tolérance
Cette beauté sombre apaise d’infini souffrances.
Mais la lune est triste et son ombrage s’arrondit
Dans les brumes mortelles entravant le paradis.
Les larmes coulent comme une pluie dense
C’est la solitude immense qui la met en transe
N’ai donc plus de craintes petite étoile
De magie et d’amour ton cœur se voile.
Loëtiga
Larmes de Lune
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