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    Un poème merveilleux parmi tant d'autres de mon plus beau et talentueux poète que j'aime.
     
     
    Délitescence 
     
    Il s'en est allé au loin le bateau
    Ma vie est si insipide aujourd'hui
    Je me sens si seule dans cette maison
    J'ai le coeur qui pleure, les maux
    Accompagnent mes mornes nuits
    J'écoute en boucle cette chanson, notre chanson.
    Ne comprend t-il pas que je l'aime tant
    Je ne suis plus que la mère de ses enfants
    J'aimerais tellement le voir sourire comme au premier jour
    Me dire des mots de tous les jours, des mots d'amour
    Je suis seule dans le salon, j'attends son retour
    J'imagine qu'il me prend la main
    Et me dépose un baiser d'amour
    Je souhaiterais tellement qu'il me fasse l'amour
    Je voudrais qu'il me dise : "Tu es belle, ma princesse."
    N'est-ce trop demander ? Je mérite d'avoir encore des sensations
    Je ne suis pas si vieille, je peux encore donner de la tendresse
    Je ressens des frissons et je perds la raison
    Les anges pleurent mon amour et moi aussi
    Regarde-moi mon bien-aimé, j'ai besoin que l'on m'aime
    Je veux chasser de mes yeux, cette pluie
    Suis-moi et dis-moi que tu m'aimes.
     
     
    "Délitescence" Copyright Cots Eric - Décembre 2011

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    Cristal de larmes de sang
     
    Ô désespoir! Ô théâtrale mélancolie!
    Ton drame tourmente ma piètre vie,
    L’effroi est le paroxysme de mon vertige
    Devant la stature de ta prestance, je me fige.
     
    Mon cœur est un cristal de larmes de sang,
    Je soupire et me lamente ombrageusement,
    La faiblesse de mes prières s’épuise au Paradis,
    Je me résigne à un destin sans ivresse, sans vie.
     
    Mon étoile est funeste tel un corbeau moribond,
    Je l’emprunte dans la froideur de mon abandon,
    Mon sang se cristallise et se brise en mille lambeaux,
    Je suis l’esclave de mon infortune, de mes maux.
     
    Loëtiga

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    Un poème très modeste pour le plus grand des poètes que j'admire et j'aime profondément.
     
     
    L’ombre de ton ombre
     
    Tu es le crépuscule enflammant mon être empressé,
    Ta beauté prédomine les splendeurs de ce monde bleuté,
    Ô comme ton âme est étincelante de richesses inépuisables,
    Je me noie dans ton regard providentiel et incommensurable.
     
    Partout où tu iras, en tout lieu je te suivrai  avec ardeur,
    Car je suis l’ombre de ton ombre, ton mystère bienfaiteur,
    Je ne peux vivre sans ton amour, sans ta tendresse,
    Je veux jusqu’à l’inépuisable que tu me caresses.
     
    Ma passion pour toi est suprême, innombrable,
    A jamais je te désire avec une ferveur remarquable,
    Je t’aime bien au-delà de ma propre existence,
    Pour te garder, je te charmerai toujours avec réjouissance.
     
    Loëtiga

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    Pour mon âme soeur qui me rends heureuse chaque jour!
     
    Tu es dans mon coeur
     
    Tu es dans mon cœur, tu es dans mon âme
    Tu seras mon souffle, devrais-je vieillir?
    Tu es mon amant, tu es mon meilleur ami
    Tu es dans mon âme
     
    Mon amour pour toi est incommensurable 
    Mon respect pour toi immense
    Tu es sans âge, hors du temps, de la dentelle et de la finesse
    Tu es la beauté et l’élégance
     
    Tu es une rhapsodie, une comédie
    Tu es un symphonie et un jeu
    Tu es chaque chanson d’amour jamais écrite
    Mais le miel que tu vois en moi
     


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