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    Pour toi mon euphorie de la part de ta yoko goulue!
     
    L’amour porte ton nom
     
    Le crépuscule évoque tes charmes enjôleurs,
    Je dévore des yeux ton réveille consolateur,
    La lueur matinale enrobe ton corps angélique,
    Un frisson exquis parcours ma peau lubrique.
     
    Je te désire encore et toujours passionnément,
    Tu es la vision la plus érotique, le plus électrisant des amants,
    Cet amour est d’une grandeur incommensurable,
    Tu incarnes la passion infernal et aliénable.
     
    Oh mon poète! Si tu pouvais sentir combien je t’aime!
    Je t’offrirai une rivière de diamants, t’écrirai des poèmes…
    Jamais cette adoration ne passera, ne s’étiolera,
    Car l’amour porte ton nom, et à jamais tu m’ensorcelleras. 
     

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  • 2368adb7
     
     
    Pour toi mon seul amour!
     
    L’amour c’est, la couleur de tes yeux
    L’amour c’est, dormir contre toi
    L’amour c’est, comme un ciel ouvert
    L’amour c’est, je t'aime
     
    L’amour c’est, comme un oiseau aux ailes blanches
    L’amour c’est, je t'aime
     
    L’amour c’est, survoler une plaine en pleine tempête
     
    L’amour c’est, sécher tes larmes avec les miennes
    L’amour c’est, je t’aime
     
    L’amour c’est grimper un mur sans peur
    L’amour c’est, je t’aime
     
    L’amour c’est, être là quand tu en as besoin.
     
    Traduction Loëtiga


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  • ANGEL-~1
     
     
     
    Pour toi mon trésor que j'aime tant
     
    Mon Nirvana 
     
    Quand la lune complice de ton sourire
    S’éclipse vers l’horizon des oiseaux bleus
    La lumière de ton regard m’éclaire de ton amour
    Cette merveille est un pur et innocent nirvana.
     
    Loëtiga
     


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  • 120415023146627617
     
     
    Pour mon seul et unique amour de ma vie! 
     
     
    Parfums éclos d'une couvée d'aurores Qui gît toujours sur la paille des astres, Comme le jour dépend de l'innocence Le monde entier dépend de tes yeux purs Et tout mon sang coule dans leurs regards. [Paul Eluard]
     
    Je t'aime contre tout ce qui n'est qu'illusion ; Pour ce coeur immortel que je ne détiens pas ; Tu crois être le doute et tu n'es que raison ; Tu es le grand soleil qui me monte à la tête ; Quand je suis sûr de moi. [Paul Eluard] 
     
    Tu contiens dans ton oeil le couchant et l'aurore ; Tu répands des parfums comme un soir orageux ; Tes baisers sont un philtre et ta bouche une amphore Qui font le héros lâche et l'enfant courageux. [Charles BAUDELAIRE] 


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  • Naissance de l'homme parfait 
     
    Un jour d’été ensoleillé, une fée joyeuse se promena dans la grande forêt enchantée.
    Les arbres dansaient au rythme du vent, les papillons volaient et dessinaient des cœurs au ciel.
    Les champignons se paraient de leur plus beaux chapeaux et les farfadets jouaient a cache- cache.
    Sur le sol humide brillait une graine. La fée surprise de cet éclat éblouissant, se posa et regarda longuement la graine mystérieuse. Elle n’avait jamais vu un phénomène aussi étrange. Curieuse et intrépide elle décida de la planter au bord du lac magique des sirènes blanches. Ici , la graine pourra grandir en toute quiétude, se dit elle. Des longs mois passèrent dans la forêt enchantée, mais la petite fée n’oublia pas d’aller voir sa récolte. Mais que ne fut son étonnement quand elle découvrit avec stupeur que la graine a laisser pousser un être humain. Le plus beau des hommes venait de naître sous les yeux écarquillés de la fée. Elle comprit vite qu’il serait unique au monde, qu’il a grandit parmi les êtres les plus merveilleux et magiques et que son âme ne peut être que beauté, tendresse et volupté.
    La fée joyeuse décida de l’appeler Eric. 
     
    Thomas
     
     

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