La porte des ténèbres
Brume froide, ombres outragées d’injustice,
S’évapore dans ce monde cruel des maléfices.
Ode à Satan, ode de désespoir, tout se dissipe,
Vers l’empyrée noire et sombre qui s’émancipe.
Je veux franchir le seuil de la porte des ténèbres,
Au-delà je sais que m’attends des amants funèbres.
L’amour gothique coulent dans les veines glaciales,
Des êtres dépourvus de haine ,de sève lacrymale.
Au plus tréfonds de cette porte mystérieuse,
Se dévoile la mort éternelle des âmes cendreuses.
Ô porte des ténèbres! Aspire moi vers cet ailleurs
Vers le véritable monde où règne espoir et candeur.
Loëtiga