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Je me suis perdue en sortant de la chambre
Dans le labyrinthe du chateau
Je n'en finis pas de monter de descendre
Entre ciel et tombeau
Il me traverse de lugubres lumières
Echappées des barreaux
Et je résonne de cantiques millenaires
Dont le couloir fait l'echo
[Refrain] x2 :
Est ce que je t'aime
Est ce que je t'aime encore ?
Mes pas glissent dans la salle aux flambeaux
Où de pressants personnages
Attirent mon corps dans un puissant étau
Qui me tord le visage
[Refrain]
Un cri explose du profond de ma gorge
Qui les noie dans le noir
Ils se diluent dans des traces informes
Terrassant mon cauchemar
Quand j'ouvre les yeux encore un peu humides
Je suis contre ton corps
Et je transpire de sentiments liquides
Saoulée de vie, ivre de mort
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C'est un SOS,je suis touchée je suis à terre
Entends-tu ma détresse, y'a t-il quelqu'un ?
Je sens que je me perds
J'ai tout quitté, mais ne m'en veux pas
Fallait que je m'en aille, je n'étais plus moi
Je suis tombée tellement bas
Que plus personne ne me voit
J'ai sombré dans l'anonymat
Combattu le vide et le froid, le froid
J'aimerais revenir , j' n'y arrive pas
J'aimerais revenir
Je suis rien, je suis personne
J'ai toute ma peine comme royaume
Une seule arme m'emprisonne
Voir la lumière entre les barreaux
Et regarder comme le ciel est beau
Entends-tu ma voix qui résonne
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Rêve chimériquePerdues dans les méandres de la nuit noire,S’étincellent les étoiles au firmament du soir,La lune blême se déguise en louve diaboliqueSa prestance éveille mes peurs gothiques.De nuage en nuage funèbre et glacé,J’erre tel un corbeau dépossédé de sa majesté,Des cris mortifères raisonnent à la cime des ténèbres,Je frissonne à pas compter vers cet univers funèbre.Je pleure, mes larmes sont glaciales de douleur,Mais mon cœur attire ses effrois dévastateurs,Je me love dans ce cocon sombre d’amertume,De toute sa splendeur soporifique, je me consume.Loëtiga
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Besoin d'air et besoin d'espace
Nos pieds persistent puisqu'ils se touchent
Puis l'on s'évite puisqu'on se lasse
On rêve d'un goût inconnu dans la bouche
La nostalgie ne fait plus effet
C'est une pilule qui nous étouffe
Puis il y a cette femme qui tourne autour
Qui fait sa danse qui sème le doute
Et qui l'arrose de ses sourires
Mon dieu que la sensation est douce
L'équilibre est fragile
Quand on navigue entre les rives
Je commence, tu termines
L'orage nous tient
Immobile
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Le clair de lune argentée scintille sur le champ
Des lamentations des âmes défuntes
Le vent souffle encore
Lorsque la petite amie passe
En dispersant les cendres
Et les feuilles s'élèvent
Ooh...dis-moi petite fille
Comment peux-tu faire tournoyer la brise ?
Ooh...peux-tu entendre pleurer le vent ?
Un jour, tu écouteras quand j'appellerai
Ooh...implorer le vent
S'il te plaît...que mon âme repose en paix
Les yeux...ne peuvent pas oublier
Montre-moi ce qui est vraiment le ParadisTraduction Enigma 71
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