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Ode à mon bébé d'amour qui me comble de bonheur!!!
L’homme de ma vie
L’homme de ma vie me sourit, une incandescente lumière rouge envahit mon âme.
Sa tendresse inépuisable fait élever des étoiles mirifiques au ciel basané.
Il est l’esprit céleste de l’amour éternellement désiré.
Sa luminescence mystérieuse est ma douce assurance qui me calme.
Je frémis de passion a l’écoute de son prénom sans pareil
Les tableaux des grands maîtres perdent leur éclat devant sa beauté infinie
Sa noble joliesse fait naître les plus belles et rares fleurs vermeille
Les fées des forêts enchantées tombent amoureuses de ce prestigieux esprit.
Ô comme cet être est délicieux, comme son baiser est précieux et doré
Des transes étourdissantes agitent mon cœur de mille et une émotions
A la manière d’une muse adulée, je l’idolâtre et le comble avec sensibilité
Il est mon roi, mon poète absolu qui sait me rendre éternelle avec sa passion.
Loëtiga
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Les fleurs du mal
Les fleurs du mal déployées
Comme les fleurs du mal
Les sombres démons de mon âme
Un amour fatal
J'ai difficilement essayé de lutter
Comme les fleurs du mal
Les fleurs du mal à l'intérieur
Un amour fatal
Toute ma vie j'ai attendu
Dans ce parfum de douleur Pour oublier quand j'en voulais plus
d'amour refrain sans fin
Nous vivons
Et nous prions
Pour les fleurs du mal
J'ai perdu mon chemin
Ce qui est fait retournera
Serais-je libre à jamais?
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Hommage à un ami de mon homme, parti beaucoup trop vite vers l'autre monde.
Mon cœur, lassé de tout, même de l’espérance: N’ira plus de ses vœux importuner le sort.
Alphonse de Lamartine
Quand on meurt, on redevient de la poussière.
De la poussière d’étoiles qui se répand sur les ailes des anges, pour qu’ils puissent voler!
La mort est une continuité de la vie. Tout est éternel!
Loëtiga
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Litanie ensanglantée
Humanité absolue, cruelle et intolérante,
Ta portée poignarde mon âme déprimante.
Je crie avec frénésie ma litanie ensanglantée,
Mais en vain… tu ne discernes pas ma fragilité.
Les nébuleuses inavouées sont mon sanctuaire,
Dans les catacombes de la mélancolie, il y a un suaire,
Un voile de tristesse et de sanglots inhibés,
Qui brulera aux enfers parmi les damnés.
Je n’imagine plus la lumière céleste.
Mon espoir est déchu et ma vie funeste.
Les ténèbres s’emparent de mon souffle,
Dans la nuit noire ma lucidité se camoufle.
Loëtiga
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